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Publié le - Mise à jour le
Sous le feu des projecteurs lors des confinements successifs – car décisives pour l’adaptation des collaborateurs et managers à des environnements de travail brusquement reconfigurés -, les soft skills constituent désormais un véritable levier de développement pour les entreprises. C’est ce que montrent deux études et un baromètre dédié publié prochainement – sous l’angle du recrutement, de la mobilisation en situation de travail et de la formation.
Selon une étude menée par l’institut Dynata pour Monster, 68% des professionnels RH souhaitent en effet que les candidats mettent ce type de compétences en avant. L’objectif ? Pouvoir proposer aux nouvelles recrues potentielles les postes qui leur correspondent le mieux.
Dans le détail :
L’écoute ! 66% des répondants du 2e baromètre des soft skills de CSP DOCENDI (publié prochainement) citent cette compétence soft comme étant celle qui leur sert le plus souvent dans l’exercice de leurs fonctions[1]. Cela correspond à une hausse de 3 points par rapport à la 1re édition de cette grande enquête annuelle.
2e du podium, la communication est mentionnée par 57% des professionnels sondés[2]. Un résultat qui s’explique par la multiplication des interactions en entreprise et par le développement du travail en mode projet, quel que soit le poste occupé ou presque. N’oublions pas par ailleurs que la communication est indissociable de l’écoute.
Pour sa part, la 3e compétence perd 16 points par rapport à l’édition précédente du baromètre des soft skills : il s’agit de l’adaptabilité[3], à 55%. Un niveau qui étonne alors même que les réorganisations du travail se sont multipliées ! Ces réponses s’expliquent toutefois : dans une autre question du baromètre, les personnes interrogées sont invitées à sélectionner les soft skills le plus souvent mobilisées durant la crise sanitaire. Sans surprise, l’adaptabilité arrive en tête, citée par 73% des répondants.
Dans le champ de la formation, plusieurs chiffres sont significatifs. Ainsi, selon une étude Unow, la part des formations Soft skills programmées dans le cadre du plan de développement des compétences (ou de son prédécesseur, le plan de formation), a bondi de 15 points entre 2016 et 2020 ! Restent à déterminer les raisons qui conduisent les organisations à accompagner leurs collaborateurs dans le développement de leurs soft skills.
Au global, en 2021, 52% des entreprises ont programmé des formations soft skills en leur sein. Cela représente une hausse de 4 points par rapport à la 1re édition du baromètre, il y a un an.
Les soft skills sont désormais clairement identifiées comme vectrices d’adaptabilité et de résilience par les organisations. Un constat valable au niveau individuel et collectif ! Dès lors, ces compétences transformatrices n’en sont sans doute qu’aux prémices de leur développement en entreprise.
[1] Plusieurs réponses étaient possibles pour cette question.
[2] Les répondants au 2e baromètre annuel des soft skills de CSP DOCENDI se répartissent ainsi : 27 % de professionnels RH, 23 % de responsables formation, 7 % de DG et 43 % de professionnels issus d’autres fonctions de l’entreprise.
[3] L’adaptabilité, mentionnée dans notre infographie sous le vocable « adaptation ».
[4] Plusieurs réponses étaient possibles pour cette question